Les femmes à Mumbai peuvent posséder des biens et vote. Ils font même la moitié de l’autorité municipale de la ville, une collection d’élus et non élus. Quelque chose qu’ils ne peuvent pas faire, cependant, est pee gratuitement. Les femmes doivent payer une redevance pour utiliser les toilettes publiques de leur ville, alors que les hommes ne le font pas. Et, sans surprise, les femmes ne sont pas heureux à ce sujet. En conséquence, 35 ONG se sont associés pour lancer une campagne intitulée «Droit de pipi», exhortant les autorités à éliminer la taxe de toilettes publiques et apporter d’autres commodités pour les femmes.
Une étude menée en 2009 par le Centre for Civil Society constaté que Mumbai eu que 132 toilettes publiques désignées pour les femmes-dont plusieurs importantes réparations nécessaires, tandis que les hommes avaient 1,534. La situation est si désastreuse, les femmes ont souvent recours à un sac avec eux, une solution connue sous le nom «toilette volant. » Et parce que la moitié des maisons de l’Inde ont des toilettes, l’hygiène publique est plus important que jamais.
Jusqu’à présent, les 35 ONG ont recueilli plus de 7000 signatures de résidents de la pétition «Droit de pipi», qu’ils vont présenter à Mumbai civique autorité de sa moitié féminine en particulier.
